L’histoire de l’école

L’ESLAP est fondée sur l’histoire culturelle de la France et se tourne vers l’innovation. Héritière de l'esprit libre et unique des écoles artistiques françaises, la mission primaire de l'école est d'instruire et de former les talents de demain.

L’École Supérieure Libre d’Art de Paris

L’École Supérieure Libre d’Art de Paris présente des cursus haut de gamme pour des talents en herbe qui souhaitent devenir des professionnels artistes, stylistes, designer, graphistes ou managers d’artistes. L’école a pour objet de former des étudiants et de les qualifier dans une discipline artistique et managériale en lien avec l’Art. Elle se donne pour mission de révéler en chacun de ses étudiants le potentiel professionnel qu’ils ont en eux en les suivant et en les guidant dans un cadre éducatif fort et rigoureux pour qu’ils deviennent de futurs artistes de futurs managers qualifiés.

A l’ESLAP, l’enseignement est dispensé par des professeurs qualifiés, exerçants actuellement dans leur domaine. Les élèves seront bien entourés et progresseront avec méthode. L’école met en place une grande plate-forme d’art et de de culture ouverte à tous afin de favoriser le développement de diverses expérimentations et recherches par le partage

Les élèves obtiendront les connaissances et les techniques nécessaires à leur future réussite professionnelle, et cela dans un cadre à l’esprit ouvert et un mode de pensée libre et créatif. 

L’existence de l’art et des artistes a toujours été attachée à une réalité sociale et économique. L’école se donne donc pour mission d’établir un lien entre la vie étudiante et la vie professionnelle avec les problématiques de la place de l’artiste dans la société, de son rôle social et économique dans le monde contemporain.   

L’école fournit également des services concernant l’aide à l’hébergement et les travaux artistiques. Il est également possible pour les élèves de participer à des programmes professionnels, ces opportunités sont assurées par les partenaires de l’école. Ainsi, les élèves auront souvent l’occasion de participer à différents programmes de promotion pour l’école.

En 1927 à Paris, François Prosper Rotgé (1893–1971), le peintre et graveur âgé de 32 ans avait commencé à enseigner le dessin et la peinture aux élèves qui l’admirent. Il a obtenu au mois de mai un permis pour les écoles privées. Le nom d’école était à l’époque “École d’art françois”, ceci est la maquette d’ESLAP.

Depuis la fondation, ESLAP a toujours cru à la valeur de l’éducation, elle a insisté à innover les cursus tout en suivant la demande du marché artistique français et global, et cela nous a amené d’excellents résultats.

Avec les basics d’art plastique, ESLAP a pris l’initiative de fusionner la pensée philosophique artistique avec la mise en pratique, des expérimentations uniques ont été effectuées, alors les nouveaux artistes formés sont connus pour leur innovation. Le principe d’enseignement de l’école est de faire évoluer les élèves individuellement tout en respectant l’esprit de l’équipe.

En 1957, École d’art Prosper a fusionné avec six autres écoles d’art et devenue à l’époque une école ayant du grand impact.

À partir de 1968, l’organisation des cursus a été basée sur l’art plastique, en touchant les différents aspects du domaine de vision. L’école s’est consacrée à former des grands artistes et stylistes au niveau international, des diplômes supérieurs de trois ans et cinq ans sont proposés.

Historique : L’éducation artistique à travers ses grandes dates

Entre la Révolution et la IIIe République, la part du sensible, de l’imaginaire, du questionnement critique mais aussi de la démocratisation de l’accès à l’art sont oubliées dans l’œuvre de démocratisation de l’enseignement menée par Guizot puis par Ferry.

En 1880, bien que chargé des Beaux-Arts, Jules Ferry ministre de l’Instruction publique, introduira des éléments du dessin, du modelage et de la musique en dernière position des programmes officiels de l’école primaire, juste après les … travaux d’aiguille des jeunes filles.

En 1959, la direction générale des Arts et Lettres qui comprend la direction des musées, le service de l’enseignement et de la production artistique, sous-direction des spectacles et de la musique, la direction de l’architecture et des archives de France, jusqu’alors attribution du ministre de l’Éducation nationale, est transférée à André Malraux. Le Ministre d’État, chargé des Affaires culturelles a pour mission de rendre accessibles les œuvres capitales de l’humanité au plus grand nombre, d’assurer la plus vaste audience au patrimoine culturel et de favoriser la création des œuvres d’art et de l’esprit. Se détournant de l’Éducation nationale pour ne s’intéresser qu’aux beaux-arts, Malraux ne revendiquera même pas l’enseignement du dessin et de la musique, s’interdisant par-là d’avoir une influence sur l’éducation des enfants. Pour Malraux, la mission de l’École est de conserver et éventuellement de transmettre un patrimoine du passé alors que la Culture, synonyme de plaisir contre l’ennui de l’enseignement, donne vie à ces œuvres.

Jusqu’en 1968 : n’existeront dans les programmes que les deux heures obligatoires de musique et de dessin.

1968 : Colloque Pour une école nouvelle : l’éducation artistique doit commencer à l’école primaire, s’ouvrir au monde contemporain et privilégier le contact avec les artistes. Intégrée à l’enseignement général, elle doit concerner tous les enseignants et se prolonger, hors de l’école, dans des activités culturelles. Jusqu’aux années 70, l’idée même d’une action culturelle en milieu scolaire n’allait pas de soi. En dehors de l’école maternelle rien n’était prévu pour l’éveil artistique des enfants, hormis les deux heures obligatoires de musique et de dessin, d’ailleurs pas assurées de manière systématique. Quant aux sorties culturelles, non seulement elles étaient exceptionnelles, mais, de plus, sans rapport avec les programmes scolaires. C’est en 1968 que l’on a commencé à prendre en compte l’importance de la dimension artistique dans l’éducation générale.

Il en ressort que l’éducation artistique doit commencer à l’école primaire, s’ouvrir au monde contemporain et privilégier le contact avec les artistes. Intégrée à l’enseignement général, elle doit concerner tous les enseignants et se prolonger, hors de l’école, dans des activités culturelles.

1969 : Institution du Tiers temps pédagogique dans les écoles élémentaires, consacré aux disciplines d’éveil et à l’éducation physique.

Début du Plan de 10 ans pour l’organisation des structures musicales françaises établi par Marcel Landowsky, responsable du service de la musique créé en 1966 au sein de la direction des arts et lettres du ministère des Affaires culturelles. Priorités : organisation de régions musicales,     chacune dotée d’un conservatoire, d’un orchestre, d’un théâtre lyrique, et d’un service d’animation ; réforme de l’enseignement de la musique, en collaboration avec le ministère de l’Education nationale.1971 : Mise en place des conseillers pédagogiques en musique et arts plastiques dans le primaire, mise à disposition d’enseignants dans les services éducatifs des musées, extension du tiers temps pédagogique au second degré.

1972 : Création du baccalauréat de technicien musique F11. Une option musique est ajoutée au baccalauréat traditionnel. L’enseignement universitaire est assuré par les conservatoires nationaux supérieurs de musique.

1973 : Mise en place du 10 % pédagogique consacré à des activités éducatives choisies par les maîtres et les élèves, le programme des autres disciplines étant allégé d’autant.

1974 : Création des Classes à horaires aménagés en primaire et au collège.

1975:  La loi du 11 juillet insiste sur la place de l’éducation artistique et de la créativité dans la formation primaire et secondaire, et sur le nécessaire équilibre entre les disciplines intellectuelles, artistiques, manuelles, physiques et sportives.

1977:  Création de la Mission d’action culturelle en milieu scolaire au sein du ministère de l’Education nationale. Elle assure la liaison du ministère de l’Education nationale avec les partenaires concernés par l’éducation artistique : ministère de la Culture, académies, institutions culturelles,  établissements scolaires, associations… et oriente la politique de l’Education nationale en matière d’action culturelle. Priorités : donner un rôle actif aux élèves et toucher les régions défavorisées sur le plan des équipements culturels.

1978:  Dans chaque académie est instituée une commission académique d’action culturelle chargée de favoriser le dialogue entre les personnels de l’enseignement et le monde de la création, et d’informer chefs d’établissement et enseignants sur les spectacles et animations proposés.

1979:  Exemple de programme initié par la Mission d’action culturelle en milieu scolaire : les Pactes ( projets d’activités éducatives et culturelles). Construits autour d’un thème, limités dans le temps, ils sont ouverts aux interventions extérieures. En 1981, ils seront remplacés par les Projets  d’action éducative (PAE).

1980:  Lancement des premières classes patrimoine à titre expérimental. Elles seront mises en place en 1982 sur le modèle des classes de neige.

1982:  Mise en place des Classes patrimoine sur le modèle des classes de neige.

1984:  Extension du principe des Classes patrimoine aux arts plastiques avec les Classes arc-en-ciel qui deviendront, en 1985, les Classes culturelles, ouvertes à tous les domaines de la création et de la culture. Ouverture des ateliers de pratiques dans une dizaine de disciplines. Institution d’une épreuve obligatoire au concours d’entrée à l’école normale pour les arts plastiques et la musique.

1985:  Les options cinéma et théâtre font l’objet d’une épreuve au baccalauréat. Ouverture des sections A3 dans ces mêmes domaines.

1988:  La loi du 6 janvier 1988 relative aux enseignements artistiques préconise notamment l’ouverture des établissements scolaires aux ” personnes justifiant d’une compétence professionnelle dans les domaines de la création ou de l’expression artistique, de l’histoire de l’art ou de la conservation du patrimoine qui peuvent apporter leur concours aux enseignants.

Le 5 décembre, déclaration commune des ministres de l’Education nationale et de la Culture concernant l’action culturelle dans les établissements d’enseignement supérieur.

1989:  Remise du rapport de Pierre Baqué, professeur des universités, à Lionel Jospin, ministre de l’Education nationale, de la Recherche et des Sports. Etat des lieux et propositions pour garantir le droit pour tous à l’éducation artistique.

Signature d’un protocole d’accord, le 23 février, entre les ministères de la Culture et de la Jeunesse et des Sports. Il porte sur le développement, au sein de la cité, des projets éducatifs et culturels, la mobilisation des réseaux de compétence sociale, et artistique et culturelle, et la formation artistique et culturelle des jeunes. En application de ce protocole, le ministère de la Culture s’associe à la procédure des contrats de ville (qui prendront par la suite la dénomination de contrat ville-enfance puis contrat éducatif local). Les contrats à dominante artistique et culturelle devront ” favoriser un large partenariat aboutissant notamment à la mise en place de jumelages entre des équipements culturels divers sous tutelle du ministère de la Culture et les partenaires concernés par les activités des jeunes dans le temps scolaire et périscolaire (écoles, associations, centres de loisir) “.

Signature d’un protocole d’accord entre le ministère chargé de la Culture et le secrétariat d’Etat chargé de la Famille pour la mise en place d’une politique commune d’éveil culturel et artistique du jeune enfant et notamment le soutien aux actions dans les lieux d’accueil des jeunes enfants et aux actions de formation des personnels des crèches et autres lieux d’accueil.

1990:  Signature d’une convention entre les ministères chargés de l’Agriculture et de la Culture. L’un des objectifs est de favoriser la création, la diffusion, la pratique culturelle en milieu rural, notamment à travers un programme d’éducation artistique et culturelle mis en œuvre dans les établissements d’enseignement agricole.

1991 : Lancement de l’opération Collège au cinéma.

1992 : Jumelages entre des équipements culturels sous tutelle du ministère de la Culture et les partenaires concernés par les activités des jeunes dans le temps scolaire et périscolaire.

1993 : Création, à titre expérimental, de l’option histoire des arts au lycée.

1995 : Initiation quotidienne à la musique dans le premier degré.

1999 : Dans le cadre de la réforme des lycées sont institués les ateliers d’expression artistique, à côté des enseignements artistiques facultatifs.

2001 : Mise en œuvre des Classes à parcours artistique et culturel, dans le primaire, les collèges et les lycées professionnels.

2002 : -Mise en place des chartes pour une éducation au patrimoine : Adopter son patrimoine.

-Le 14 janvier 2002, Catherine Tasca, ministre de la Culture et de la Communication, et Jack Lang, ministre de l’Éducation nationale, signent un protocole d’accord consacré aux arts et à la culture dans l’enseignement supérieur.*
Ce protocole porte sur le développement : des échanges et des coopérations entre les filières de formation aux métiers des arts et de la culture relevant des deux ministères ; des savoirs et des pratiques culturels dans les formations universitaires ; d’une politique en faveur de la formation artistique et culturelle des professeurs ; de la mise en commun des ressources intellectuelles, artistiques, documentaires des établissements d’enseignement supérieur relevant des deux ministères, des institutions culturelles et des créateurs afin d’aider les étudiants dans leurs pratiques culturelles et dans la mise en place des projets de leurs associations, et de favoriser la mise en valeur du patrimoine artistique et culturel des universités ; des échanges culturels européens et internationaux.

– Les 27 et 28 mars, un Séminaire des arts à l’école dresse un premier bilan de l’application du plan de 5 ans.

– Le 15 avril, le ministère de la Culture et de la Communication et le ministère de l’Agriculture et de la Pêche signent un protocole de coopération consacré à l’éducation artistique et culturelle. Ce protocole met en avant l’association de l’enseignement agricole “qui mobilise depuis de nombreuses années des moyens et des talents” dans ce domaine, au plan de 5 ans pour le développement de l’éducation artistique et culturelle mis en œuvre par les ministères de l’Éducation et de la Culture. Il porte sur : l’ouverture à la diversité artistique, à l’architecture et au patrimoine, la formation supérieure initiale et continue, et l’inscription des établissements d’enseignement agricole dans le réseau d’action culturelle de proximité.

– La circulaire du 22 avril 2002, adressée aux directions régionales des affaires culturelles, aux rectorats et aux inspections académiques précise les missions confiées aux pôles nationaux de ressources artistiques et culturelles dans les régions. (format rtf)
Elles portent sur : la formation, initiale et continue, la documentation et la mise à disposition de ressources, l’animation du réseau de personnes-ressources dans chaque domaine artistique et culturel.
Missions complémentaires : l’édition multi-supports ; les études, la recherche et la prospective ; la mutualisation d’équipements spécifiques ; l’aide à la production d’événements ; les actions de valorisation et de communication.

– une deuxième circulaire est adressée le 22 avril 2002 aux directions régionales des affaires culturelles, aux rectorats et aux inspections académiques relative à la mise en œuvre du plan pour l’éducation artistique et l’action culturelle à l’école dans le domaine du patrimoine. Elle vise à mettre en place des ” chartes pour une éducation au patrimoine : ” Adopter son patrimoine ” “.

– le 4 juillet 2002, Jean-Jacques Aillagon, ministre de la culture et de la communication, et Xavier Darcos, ministre délégué auprès du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche annoncent avoir décidé de confier aux inspections générales des deux ministères une mission d’évaluation de la mise en œuvre du plan pour l’éducation artistique et culturelle depuis la date de son lancement en décembre 2000.

2005 : Installation du Haut conseil de l’éducation artistique et culturelle. Didier Lockwood vice-président4.

2006 : Première conférence mondiale sur l’éducation artistique organisée par l’UNESCO à Lisbonne.

2007:  Les 22 et 23 janvier 2007 s’est déroulé un séminaire national de formation sur l’éducation artistique et culturelle à destination des cadres de l’éducation nationale auquel ont participé également une centaine de cadres issus du ministère de la culture et de la communication, des collectivités territoriales et d’autres ministères impliqués dans ces projets.
2013 : Installation du nouveau Haut conseil de l’éducation artistique et culturelle. Emmanuel Ethis, vice-président

2016 : Présentation de la Charte de l’éducation artistique et culturelle à Avignon par le HCEAC5.

Dispositifs de l’Éducation nationale

Dans l’école, l’éducation artistique et culturelle s’appuie sur les enseignements obligatoires à l’école et au collège, sur les options au lycée, sur les dispositifs croisés et sur les projets inscrits dans le volet culturel des établissements.

Hors de l’école, elle ouvre sur des activités liées aux ressources locales. Les projets peuvent donner lieu à la conclusion de jumelages entre structures artistiques et culturelles et établissements scolaires. Ils sont intégrés aux projets éducatifs territoriaux et associent les établissements scolaires, les services de l’État et les collectivités territoriales par la signature de conventions.

Le partenariat entre enseignants et artistes concerne à la fois la pratique artistique et l’approche culturelle impliquant auprès des enseignants et des jeunes autant les professionnels de la création que ceux de la médiation et de la diffusion culturelle.

Ateliers

Les ateliers de pratique artistique existent à tous les niveaux.

À l’école élémentaire ils sont organisés avec le concours d’un professionnel de la culture validé par la DRAC, sur le temps scolaire, en présence de toute la classe et sous la responsabilité de l’enseignant, à raison d’une séance hebdomadaire en général de janvier à juin (environ 20 séances). Les élèves découvrent un secteur artistique ou patrimonial dans un cadre spécifique : musée, dépôt d’archives, bibliothèque, monument, école de musique ou beaux-arts, etc.

Au collège ils sont organisés avec le concours d’un professionnel de la culture, sous la responsabilité de l’enseignant, hors temps scolaire et s’adressent à des élèves volontaires, à raison de 2 à 3 heures par semaine. Chaque atelier est ouvert pour l’année scolaire et peut concerner un seul domaine artistique ou s’ouvrir à plusieurs. Au lycée ils accueillent des lycéens volontaires tous niveaux confondus et sans distinction de séries. Ils reposent sur un volume horaire annuel de 72 heures-élèves. Ces heures sont placées sous la responsabilité d’un enseignant qui peut se faire épauler par certains de ses collègues. Les horaires peuvent être modulés en fonction du projet : séances hebdomadaires, journées ou semaines banalisées, formules mixtes en privilégiant, chaque fois que cela est possible, la rencontre entre plusieurs arts, autour d’une dominante.

En 2013, l’ESLAP innove tout en conservant les valeurs de l’enseignement artistique français   De nouvelles filières sont créées : management du luxe, management de l’art et de la culture, architecture d’intérieur, design graphique, 3D animation, expertise et marché de l’art, stylisme et modélisme, photographie. 

De générations de professionnels talentueux ont été formées par l’ESLAP, issus de dizaines de pays différents, héritant de la belle tradition de l’école. Aujourd’hui, ESLAP poursuit toujours la croyance du début de sa création de croyance pour enseigner avec persévérance dans le domaine des arts. Marchés d’art, design de mode, la gestion des arts, le marketing, et particulièrement les cours de gestion et des cours d’art sont des domaines qui se complètent, par exemple, l’impact de l’offre et la demande du marché d’art, des matériaux, ainsi que les aspects créatifs.

2020, l’ESLAP bouleverse le paysage du management de la creativité artistique ! En plus de  la classe préparatoire, deux titres référencés au RNCP voient le jour ! Bachelor en 3 ans, MASTER en 5ans, avec la possibilité de choisir ses spécialités : mode-stylisme, design graphique, management du luxe, projets artistiques et culturels.

Nous sommes fiers de continuer à former les futurs professionnels artistes talentueux futurs indépendants ou manager de demain.

Pour éduquer et former les élites sociales du futur

ESLAP diplôme des étudiants venus du monde entier et qui sont devenus des leaders dans la mode, l’art, le design, le marché de l’art et le domaine de la gestion. Fournir en temps réel les programmes détaillés les plus récents pour répondre aux besoins et à l’innovation des différentes industries a permis à l’ESLAP de devenir un centre de recherche très sensible à la demande du marché de l’art. Les enseignements sont dynamiques et novateurs et sont sur des normes académiques de qualité : les élèves apprennent ainsi dans une ambiance détendue, agréable et rigoureuse. À travers les cursus et la vie scolaire, “la culture française” est bien intégré dans le quotidien des élèves. Dans la mode, l’art et le design, nous nous consacrons à la réalisation d’une diffusion mondiale de la culture française. Nous faisons un effort pour découvrir et développer le potentiel de chaque personne à travers des formations régulières. En se basant sur les grandes tendances culturelles mondiales, ESLAP continuera à promouvoir et à renforcer sa coopération avec des entreprises renommées dans les domaines de la mode, de l’art, du design et du luxe.